Une étude est parue en juillet 2019 qu’il vous est possible de lire sur le site du Ministère des Solidarités et de la Santé. Un extrait de celle-ci est ici retranscrit mais si vous souhaitez lire cette étude dans sa globalité, un lien est accessible en fin de texte.
Fin 2014, 65 % des jeunes adultes dont les parents sont séparés reçoivent une aide nancière régulière de la part d’au moins un de leurs parents, contre 74 % des jeunes dont les parents sont en couple. Les jeunes adultes qui ont vécu en résidence alternée reçoivent toutefois autant d’aides que les jeunes dont les parents sont en couple. En moyenne, l’aide parentale reçue par les jeunes de parents séparés est d’environ 235 euros par mois, soit 33 euros de moins que les jeunes dont les parents sont en couple. La part des revenus sociaux dans leurs ressources dépasse en moyenne celle des aides parentales. Au total, en tenant compte également des revenus du travail, les ressources mensuelles des jeunes ayant des parents séparés s’élèvent à 808 euros, soit un niveau un peu supérieur à celui des autres jeunes. Les jeunes de parents séparés déclarent souvent que l’aide provient principalement de leur mère.
Le financement du permis de conduire est, lui, le plus souvent pris en charge par les deux parents. Les jeunes ayant des parents séparés sont plus souvent aidés par leur entourage (grands-parents, oncles, tantes, amis…) que les autres jeunes. Quand ils en bénéficient, un sur deux juge cette aide indispensable. Enfin, ces jeunes adultes disent plus souvent devoir se priver pour des biens de première nécessité comme la nourriture, les vêtements, les transports et se sentent plus souvent en difficulté financière.
Jacques Bellidenty et Raphaëlle Rivalin (DREES)
Le cabinet ‘Médiation familiale en Essonne’ soutient les parents dans l’exercice de leur autorité parentale conjointe quand leurs enfants sont mineurs et dans l’accompagnement de leurs enfants ayant plus de 18 ans. Cet espace favorise la réflexion sur l’aujourd’hui, le ‘ici et maintenant’ et sur les perspectives pour ces jeunes adultes parfois en perte de repères.
Le temps de la formation, l’accompagnement universitaire, les premiers pas dans le monde du travail, les premiers temps sur la route, les premiers logements ou chambres d’étudiants… Tout reste à construire et l’avenir prend forme peu à peu pour les jeunes. Pour cela, le médiateur familial peut vous y aider, parents et jeunes majeurs.
En effet, ne laissez-pas les circonstances diriger votre vie et celle de vos enfants, ne considérez-pas que votre séparation conjugale détermine l’avenir de votre famille et la qualité du lien avec vos enfants. Contactez un médiateur familial proche de chez vous pour vous accueillir ou en capacité de vous ‘recevoir’ en distanciel.
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/er1120.pd
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